Soutien scolaire, une vraie valeur ajoutée ou un palliatif aux manquements de l’éducation nationale
« Alors mon chéri, comment c’est passée ta journée ? Bien maman, j’ai fini à deux heures et demi parce que mon prof de math était encore absent… »
Vous n’en pouvez plus d’entendre ces mots : profs absents, programmes non bouclés, vous voyez bien que le petit dernier qui a déjà des problèmes en math va avoir bien du mal à obtenir la moyenne à son brevet des collèges. Alors c’est décidé, cette année vous aller l’inscrire à un programme de cours particuliers si vos finances vous le permettent.
Le seul problème, c’est que le soutien scolaire à Nantes (www.boisrobert.com), Paris ou Brive la Gaillarde, c’est une dépense très importante dans le budget familial : en moyenne 12€ l’heure de cours, alors intérieurement, vous brulez de colère contre l’éducation nationale qui est censée, comme son nom l’indique éduquer vos enfants… Après les deux premiers cours donnés par un jeune étudiant de 20 qui s’exprime en langage sms, vous commencez à perdre patience et espoir. Rassurez-vous il existe tout de même des options pour votre petit : les groupes de soutien scolaire.
Bien que ces organismes proposent des cours souvent plus cher que les particuliers, les professeurs sont sélectionnés avant de prendre de jeunes élèves en charge : ce système permet d’éviter de tomber sur quelqu’un d’incapable d’expliquer le théorème de Pythagore à votre progéniture… L’investissement est bien souvent rentabilisé en quelques semaines s’il ne s’agit que de lacunes superficielles. Comptez quelques mois si le niveau dans une matière est bas depuis longtemps.
L’autre solution est de vous renseigner auprès du collège de votre enfant pour savoir si des cours de soutien sont prévus dans l’emploi du temps général de l’établissement, car si l’accompagnement n’est pas individualisé, il peut être une solution de remplacement en cas de budget trop serré.